Lois sur l'abandon des enfants à Pennslyvania

Lois sur l'abandon des enfants à Pennslyvania

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Anonim

La Pennsylvanie a plusieurs lois traitant des problèmes de maltraitance, de négligence et d'abandon. Bien qu'il n'y ait pas de loi spécifique sur l'abandon des enfants, l'Etat interdit à toute personne ayant la responsabilité d'un enfant de mettre en danger la santé et le bien-être de l'enfant. Si vous avez besoin de conseils juridiques sur un problème spécifique d'abandon d'enfant en Pennsylvanie, parlez-en à un avocat qualifié.

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Infractions

La Pennsylvanie punit l'abandon d'enfant comme une menace pour le bien-être d'un enfant, communément appelé EWOC. L'article 4304 (1) du Code de Pennsylvanie stipule que tout parent, tuteur ou autre personne responsable du bien-être d'un enfant commet une infraction s'il met sciemment en danger le bien-être d'un enfant en ne prenant pas soin d'un enfant ou en devoir d'attention.

Punishments

Chaque fois que quelqu'un est reconnu coupable de mettre en danger le bien-être d'un enfant, le crime est accusé comme un délit ou un crime. L'article 4304 (3) du Code de la Pennsylvanie stipule que les infractions EWOC sont généralement accusées de délits mineurs, avec des peines pouvant aller jusqu'à cinq ans d'emprisonnement. Toutefois, si les actions du défendeur constituent une ligne de conduite continue, ce qui signifie que la mise en danger se produit à plusieurs reprises ou à plusieurs reprises au cours d'une période de temps, le crime est accusé d'un crime de troisième degré. Les crimes de troisième degré sont passibles d'une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à sept ans.

Cessation des droits parentaux

La loi de Pennsylvanie permet également à l'État de priver les parents de leurs droits parentaux dans certains cas, y compris des cas d'abandon d'enfant. Selon l'article 2511 (1) et (2) du Code de la Pennsylvanie, un parent qui fait preuve d'un certain comportement continu pendant au moins six mois peut être déchu de ses droits parentaux. Le comportement doit témoigner du désir persistant, du refus ou de l'inaptitude du parent à prendre soin de son enfant et entraîner la privation des soins parentaux essentiels, le contrôle de la subsistance nécessaire au bien-être physique et mental de l'enfant. Lorsqu'il décide s'il y a lieu de mettre fin aux droits parentaux, le tribunal doit accorder une attention prioritaire au bien-être de l'enfant en question.